Sans action volontariste des États et des acteurs économiques, cette situation pourrait s’aggraver d’ici à 2040 en raison notamment de l’industrialisation rapide des pays en développement, de l’utilisation croissante de nouveaux matériaux et technologies ou encore de l’apparition de nouveaux polluants et de nouvelles molécules pharmaceutiques.
7,5 millions
C’est le nombre de décès prématurés par an dus à la pollution de l’air, plus grand facteur de risque selon l’AIE, en 2040 (6,5 millions en 2015).
4,6 trillions de dollars
Ce sont les pertes annuelles en bien-être dues à la pollution, soit 6,2 % de la production de richesse mondiale.
Source : The Lancet.
10 %
C’est la perte de biodiversité terrestre annoncée d’ici à 2050 si rien n’est fait, avec des pertes significatives en Asie, en Europe et en Afrique australe.
Source : OCDE.
Lutter contre les pollutions de l’eau, des sols et de l’air
Veolia est depuis longtemps expert du traitement des pollutions, y compris les plus complexes. Plusieurs défis devront être relevés dans les prochaines décennies. Dans le domaine de l’eau, il s’agira de déployer largement les solutions de traitement des polluants massifs dans les pays en développement et des micropolluants dans les pays développés. Pour aller plus loin en matière de dépollution des sols, il faudra systématiser le diagnostic et la caractérisation des sites et sols pollués et continuer à développer des techniques plus naturelles et moins coûteuses de réhabilitation. Enfin, il faudra inventer et développer à grande échelle des solutions permettant de lutter contre la pollution de l’air, qui représente un enjeu environnemental et sanitaire majeur.

Les liens entre la santé et l'environnement en 2040
Un monde plus durable sans impact sur notre santé, c’est possible !
Dr María Neira, Directrice du département Santé publique, déterminants sociaux et environnementaux de la santé – Organisation mondiale de la santé (OMS)

Le Sheraton ne manque pas d’air

